Le luxe est un univers singulier qui a toujours suscité envie et désir chez les consommateurs. Un produit de luxe se reconnaît à sa sophistication, supérieure à ce qu’un usage simple de l’objet ne pourrait exiger, à son prix, plus élevé qu’il ne devrait l’être et à la symbolique, la mesure dans laquelle l’acquisition du dit produit de luxe est liée au message qu’il fait passer.

Le luxe c’est avant tout partager des rêves au travers d’ambiances particulières, d’architectures, et de produits uniques. Rien ne semble ébranler ce secteur qui est l’un des plus anciens domaines des économies développées.

La mondialisation est une opportunité majeure pour le luxe

Vers la fin des années quatre-vingt, l’État a pris conscience à quel point l’industrie du luxe était importante pour la France, tant en termes de création de richesses et d’emplois, qu’en termes de balance commerciale nette. Par exemple, une bouteille de champagne vendue à l’étranger c’est presque 100 % de made in France.

Dans cette course mondiale, sur les marchés du luxe, la France est le leader incontesté, et le « luxe à la française » est un modèle.

Luxe et industrie

Contrairement aux autres activités industrielles, le luxe a longtemps reposé sur un savoir-faire artisanal, fondé sur la tradition et la transmission, justifiant dès lors que l’accent soit davantage mis sur la formation que sur la R&D. Or, le luxe et la mode représentent des secteurs où les nouvelles technologies se diffusent largement: si cette transformation numérique est encore peu visible, elle n’en sera pas moins prépondérante dans les années à venir, les insérant de fait pleinement dans la nouvelle France industrielle.

La force de la France dans le domaine du luxe, outre le dynamisme de ses créateurs et de l’image de la France, tient également en raison d’un réseau très dense de fournisseurs performants constitué autour des acteurs majeurs : pour le rayonnement d’un secteur, il est indispensable de disposer de relais de fournisseurs aux savoir-faire sophistiqués et de très nombreux métiers, verriers, cartonniers, imprimeurs, plasturgistes et moulistes sont au moins aussi importants que les nez des grands parfumeurs.

Cette place il faut la conserver! et développer l’industrie des fournisseurs.

Les CTI – CPDE y contribuent par la connaissance des métiers de ce marché  : matières premières, procédés de fabrication, contrôles et certifications, innovation.

Quelques exemples de CTI-CPDE acteurs de ce marché

A l’écoute des tendances et au service des entreprises du cuir, de la maroquinerie, de la chaussure et de la ganterie

Grâce à son histoire plus que centenaire (1899), à son ancrage dans le patrimoine artisanal et industriel français et à son Campus technologique, CTC sait mieux que quiconque que le marché du luxe conjugue des exigences particulières relatives aux matériaux utilisés, cuirs précieux, soieries et satins, avec des modes de fabrication complexes ne négligeant aucun détail.Être en phase avec les tendances est aujourd’hui un facteur-clé de réussite et représente un avantage concurrentiel certain dans la course des entreprises françaises à la différenciation des produits.

Ce savoir-faire concerne le domaine des accessoires de mode en général (chaussure, maroquinerie, ganterie) mais investit de plus en plus l’univers du sport, des équipements de protection individuelle (EPI) sans oublier ceux de l’ameublement et de la décoration.

Avec sa parfaite connaissance des marchés, des acteurs, des spécificités des métiers du cuir et de par sa maîtrise des tendances ; CTC est au cœur de ce dispositif. L’étude des nouveaux comportements de consommation, l’analyse de l’offre des salons interprofessionnels, la participation à des manifestations et conférences dans l’univers de la mode et du design, permettent aux stylistes CTC de collecter des informations marketing-style pour filtrer l’air du temps.

Pour accompagner ses industriels, CTC propose différents outils :

• gamme de coloris cuir
• matériauthèque cuirs et textiles actualité chaque saison
• programme de séminaires et webinaires créatifs et sociétaux
• collection Impulsions comportant 13 dossiers tendances par an

Développer l’activité des entreprises, en s’appuyant sur 3 axes de différenciation principaux : la création, la qualité et le savoir-faire

Le Comité Francéclat définit et met en oeuvre un ensemble cohérent d’actions collectives au service des professionnels de l’horlogerie, bijouterie, joaillerie, orfèvrerie. Il assure lui-même la mise en oeuvre des actions, en s’appuyant si nécessaire sur des partenaires extérieurs mais en conservant toujours la maîtrise directe des opérations.

La création est l’un des axes de différenciation majeurs sur lesquels repose la stratégie du Comité Francéclat. Les actions destinées à relever le défi de la création pour se démarquer de la concurrence ont ainsi toujours constitué l’un des domaines d’intervention privilégié du Comité.